PRéSENTATION de la Chatterie :
¤ Présentation :
J'ai ma petite chatterie familiale de Maine Coons à MONTAUBAN (82000), près de TOULOUSE, mais j'ai débuté dans l’élevage en 2016 en région parisienne, avec Lizzie du Chabeauté, qui est née le 2 mai 2015, qui a fait sa première portée le 23 juillet 2016. Je me suis aussi inscrite au LOOF, dans la formation du CCAD Option chat (qui remplace le CETAC depuis le 1er janvier 2015), et j’ai réussi le test en ligne donnant l’Attestation de Connaissances (N°2016/cf5a-0e7f). J’ai pris l’affixe du Poulit Cat, ce qui signifie « Joli chat » en occitan du Quercy, dans le Tarn et Garonne, où j’y ai la famille de ma mère et mes racines. La chatterie s'est agrandie avec Mindila du Poulit Cat, une fille de Lizzie de la portée du 23 juillet 2016, et avec deux bébés de Mindila du Poulit Cat : N'Di du Poulit Cat, de la portée du 08/10/2017, et Pietra du Poulit Cat, de la portée du 09/09/2019 qui va remplacer sa maman pour la reproduction. Puis j'ai gardé Rosaline du Poulit Cat, une fille de Lizzie du Chabeauté, issue de sa dernière portée du 26/11/2020, pour prendre le relai après sa mère pour la reproduction. Et la chatterie a été créé comme une entreprise en juillet 2017 avec n° de Siret : 397 921 081 00030, lorsque j'ai déménagé à MONTAUBAN.
¤ Mon histoire :
Après 9 ans avec Manouch, un beau chat européen à poils mi-long, tout blanc à la queue noire, ayant un peu de l’Angora Turc dans le sang, puis 15 ans de bonheur avec Rédha, mon Sacré de Birmanie Blue Point, je suis revenue vers le chat qui m’a fascinée lors de la visite de ma première exposition féline il y a une vingtaine d’années : le Maine Coon. Son physique sauvage et sa grande taille m’avaient laissée sans voix. A l’époque je ne savais rien du caractère de cette race mais je savais qu’un jour j’en aurai un. Après Rédha je me suis lancée dans mes recherches. J’ai choisi une femelle pour rester raisonnable car je voyage souvent en train et la femelle est un peu moins lourde que le mâle, tout en ayant un grand gabarit. C’était un bon compromis. De ce fait j’ai tout de suite eu envie d’une brown blotched tabby, très tabby, et si elle était en plus tortie ce serait la cerise sur le gâteau car j’adore, et en prenant une femelle c’était l’occasion. Seulement voilà… il y a ce qu’on veut… et il y a ce qu’il y a ! Mais j’avoue que j’ai eu beaucoup de chance : l’élevage de Françoise Supatto est le premier que j’ai visité et elle attendait une portée un mois après. Il y a eu 4 femelles torties sur les 5 chatons, dont Lizzie qui correspondait exactement à la couleur dont je rêvais. Je l’ai accueillie en août, à 3 mois, et elle a très vite pris possession de mon petit appartement en région parisienne. Et oui… on habite toujours chez nos chats, pas l’inverse ! Et le virus m’a prise : Maine Coon un jour, Maine Coon pour toujours ! Son physique grand et puissant me plaît, avec cet aspect très sauvage qui impressionne ceux qui ne connaissent pas la race, et ce caractère dynamique et curieux, toujours en interaction avec nous, me correspond parfaitement. Le Maine Coon est autant indépendant qu’il est dépendant ! Il est très attaché à son maître sans être pour autant constamment couché sur lui : il est toujours à ses côtés, ou à l’épier du regard, et rien ne lui échappe, ce qui est très plaisant.
¤ L’élevage, les tests de santé pour les chats et chatons :
J’avais déjà en projet, depuis très longtemps, de me lancer dans l’élevage. J’avais aimé côtoyer dans ma jeunesse, dans la ferme de mes grands-parents, plusieurs générations de chats descendant d’une même femelle. Je comptais m’y mettre plus tard mais ma rencontre avec Françoise Supatto, l’éleveuse de Lizzie, m’a mise en confiance et je me suis lancée ! Pour moi qui ne suis pas du milieu, le monde du chat de race était un vrai mystère ! Et ne parlons pas des codes des expositions félines… Et pourtant, impossible d’imaginer un élevage sans être parfaitement au point. Le respect et la conservation de la race, autant dans ses caractéristiques physiques que dans son caractère de « doux géant », sont très importants pour moi. C’est pourquoi, grâce à Françoise qui a eu une infinie patience à m’initier aux nombreux tests de santé à faire, tous mes futurs chatons seront inscrits au LOOF (Livre Officiel des Origines Félines), pucés, vaccinés, avec leur passeport, leur carte génétique d’identification et leur certificat génétique de parenté permettant la traçabilité des tests génétiques de santé des parents (avec le laboratoire Antagene). D’ailleurs tout sera mentionné dans le pedigree, comme les tests de santé génétiques des parents (HCM1 et SMA) car les parents sont testés HCM1 et SMA N/N par ADN, et les femelles doivent avoir une échographie cardiaque de contrôle avant chaque saillie (et pas plus d’une portée par an pour ne pas épuiser les chattes). C’est ce que fait déjà depuis longtemps Françoise Supatto, l’éleveuse de Lizzie, puisqu’elle a été une des premières en France à tester génétiquement ses chats, devenant ainsi Eleveur Référent pour le laboratoire Antagene. Et j’avoue que j’en ai été la première à être rassurée en achetant Lizzie. Car la santé du chat est primordiale !
¤ Les chatons :
Les chatons ne doivent pas quitter le domicile avant 3 mois pour qu’ils soient parfaitement sociabilisés en famille. J’ai connu avec mon Sacré de Birmanie Rédha les problèmes de comportement dus à un départ trop précipité, et je ne veux pas que cela arrive dans mon élevage, car c’est compliqué de rectifier ensuite. Les chatons doivent vivre en toute liberté dans l’appartement avec la mère, car ils prennent toujours modèle sur elle, et ils vont aussi apprendre à vivre avec moi, jour et nuit. C’est comme ça qu’ils respecteront vos nuits à vous sans vous réveiller (sauf peut-être pour un câlin…), et qu’ils sauront prendre leurs marques chez vous, sans manger les fils électriques ni déchirer les rideaux, du moins on l’espère fortement... Mais attention, il faut tout ranger : la grande taille des Maine Coons leur rend accessible des endroits insoupçonnables, et parfois on a des surprises ! Bien sûr il faudra y mettre du vôtre en leur achetant un arbre à chat pour se défouler, en les stimulant par plein de petits jeux, en leur donnant une bonne alimentation, et en les laissant vivre dans un lieu sécurisé, que ce soit uniquement en intérieur ou en extérieur. Sinon je ne garantis rien… Mais un document d’information sur les caractéristiques et les besoins du chat sera fourni lors de la vente pour plus de précisions. Puis c’est le caractère du chat et sa petite bouille qui vous feront craquer, et on s’y attache toujours plus au fur et à mesure qu’il grandit.
J'ai ma petite chatterie familiale de Maine Coons à MONTAUBAN (82000), près de TOULOUSE, mais j'ai débuté dans l’élevage en 2016 en région parisienne, avec Lizzie du Chabeauté, qui est née le 2 mai 2015, qui a fait sa première portée le 23 juillet 2016. Je me suis aussi inscrite au LOOF, dans la formation du CCAD Option chat (qui remplace le CETAC depuis le 1er janvier 2015), et j’ai réussi le test en ligne donnant l’Attestation de Connaissances (N°2016/cf5a-0e7f). J’ai pris l’affixe du Poulit Cat, ce qui signifie « Joli chat » en occitan du Quercy, dans le Tarn et Garonne, où j’y ai la famille de ma mère et mes racines. La chatterie s'est agrandie avec Mindila du Poulit Cat, une fille de Lizzie de la portée du 23 juillet 2016, et avec deux bébés de Mindila du Poulit Cat : N'Di du Poulit Cat, de la portée du 08/10/2017, et Pietra du Poulit Cat, de la portée du 09/09/2019 qui va remplacer sa maman pour la reproduction. Puis j'ai gardé Rosaline du Poulit Cat, une fille de Lizzie du Chabeauté, issue de sa dernière portée du 26/11/2020, pour prendre le relai après sa mère pour la reproduction. Et la chatterie a été créé comme une entreprise en juillet 2017 avec n° de Siret : 397 921 081 00030, lorsque j'ai déménagé à MONTAUBAN.
¤ Mon histoire :
Après 9 ans avec Manouch, un beau chat européen à poils mi-long, tout blanc à la queue noire, ayant un peu de l’Angora Turc dans le sang, puis 15 ans de bonheur avec Rédha, mon Sacré de Birmanie Blue Point, je suis revenue vers le chat qui m’a fascinée lors de la visite de ma première exposition féline il y a une vingtaine d’années : le Maine Coon. Son physique sauvage et sa grande taille m’avaient laissée sans voix. A l’époque je ne savais rien du caractère de cette race mais je savais qu’un jour j’en aurai un. Après Rédha je me suis lancée dans mes recherches. J’ai choisi une femelle pour rester raisonnable car je voyage souvent en train et la femelle est un peu moins lourde que le mâle, tout en ayant un grand gabarit. C’était un bon compromis. De ce fait j’ai tout de suite eu envie d’une brown blotched tabby, très tabby, et si elle était en plus tortie ce serait la cerise sur le gâteau car j’adore, et en prenant une femelle c’était l’occasion. Seulement voilà… il y a ce qu’on veut… et il y a ce qu’il y a ! Mais j’avoue que j’ai eu beaucoup de chance : l’élevage de Françoise Supatto est le premier que j’ai visité et elle attendait une portée un mois après. Il y a eu 4 femelles torties sur les 5 chatons, dont Lizzie qui correspondait exactement à la couleur dont je rêvais. Je l’ai accueillie en août, à 3 mois, et elle a très vite pris possession de mon petit appartement en région parisienne. Et oui… on habite toujours chez nos chats, pas l’inverse ! Et le virus m’a prise : Maine Coon un jour, Maine Coon pour toujours ! Son physique grand et puissant me plaît, avec cet aspect très sauvage qui impressionne ceux qui ne connaissent pas la race, et ce caractère dynamique et curieux, toujours en interaction avec nous, me correspond parfaitement. Le Maine Coon est autant indépendant qu’il est dépendant ! Il est très attaché à son maître sans être pour autant constamment couché sur lui : il est toujours à ses côtés, ou à l’épier du regard, et rien ne lui échappe, ce qui est très plaisant.
¤ L’élevage, les tests de santé pour les chats et chatons :
J’avais déjà en projet, depuis très longtemps, de me lancer dans l’élevage. J’avais aimé côtoyer dans ma jeunesse, dans la ferme de mes grands-parents, plusieurs générations de chats descendant d’une même femelle. Je comptais m’y mettre plus tard mais ma rencontre avec Françoise Supatto, l’éleveuse de Lizzie, m’a mise en confiance et je me suis lancée ! Pour moi qui ne suis pas du milieu, le monde du chat de race était un vrai mystère ! Et ne parlons pas des codes des expositions félines… Et pourtant, impossible d’imaginer un élevage sans être parfaitement au point. Le respect et la conservation de la race, autant dans ses caractéristiques physiques que dans son caractère de « doux géant », sont très importants pour moi. C’est pourquoi, grâce à Françoise qui a eu une infinie patience à m’initier aux nombreux tests de santé à faire, tous mes futurs chatons seront inscrits au LOOF (Livre Officiel des Origines Félines), pucés, vaccinés, avec leur passeport, leur carte génétique d’identification et leur certificat génétique de parenté permettant la traçabilité des tests génétiques de santé des parents (avec le laboratoire Antagene). D’ailleurs tout sera mentionné dans le pedigree, comme les tests de santé génétiques des parents (HCM1 et SMA) car les parents sont testés HCM1 et SMA N/N par ADN, et les femelles doivent avoir une échographie cardiaque de contrôle avant chaque saillie (et pas plus d’une portée par an pour ne pas épuiser les chattes). C’est ce que fait déjà depuis longtemps Françoise Supatto, l’éleveuse de Lizzie, puisqu’elle a été une des premières en France à tester génétiquement ses chats, devenant ainsi Eleveur Référent pour le laboratoire Antagene. Et j’avoue que j’en ai été la première à être rassurée en achetant Lizzie. Car la santé du chat est primordiale !
¤ Les chatons :
Les chatons ne doivent pas quitter le domicile avant 3 mois pour qu’ils soient parfaitement sociabilisés en famille. J’ai connu avec mon Sacré de Birmanie Rédha les problèmes de comportement dus à un départ trop précipité, et je ne veux pas que cela arrive dans mon élevage, car c’est compliqué de rectifier ensuite. Les chatons doivent vivre en toute liberté dans l’appartement avec la mère, car ils prennent toujours modèle sur elle, et ils vont aussi apprendre à vivre avec moi, jour et nuit. C’est comme ça qu’ils respecteront vos nuits à vous sans vous réveiller (sauf peut-être pour un câlin…), et qu’ils sauront prendre leurs marques chez vous, sans manger les fils électriques ni déchirer les rideaux, du moins on l’espère fortement... Mais attention, il faut tout ranger : la grande taille des Maine Coons leur rend accessible des endroits insoupçonnables, et parfois on a des surprises ! Bien sûr il faudra y mettre du vôtre en leur achetant un arbre à chat pour se défouler, en les stimulant par plein de petits jeux, en leur donnant une bonne alimentation, et en les laissant vivre dans un lieu sécurisé, que ce soit uniquement en intérieur ou en extérieur. Sinon je ne garantis rien… Mais un document d’information sur les caractéristiques et les besoins du chat sera fourni lors de la vente pour plus de précisions. Puis c’est le caractère du chat et sa petite bouille qui vous feront craquer, et on s’y attache toujours plus au fur et à mesure qu’il grandit.
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